Alexandre Martel est le co-fondateur du site 3Dnatives, site leader d’informations sur l’impression 3D.
Après un début de carrière dans la finance à Londres, c’est la combinaison de son attrait pour les nouvelles technologies, de l’envie et du besoin d’être davantage challengé et inspiré, et d’une opportunité qui a doucement poussé Alexandre à créer une structure qu’il gère aujourd’hui à Paris.
Alexandre trouve son équilibre dans son travail qui le stimule, dans son entourage qui le soutient et dans les pratiques qui l’aident à garder le cap, avec l’envie d’en apprendre toujours plus et de garder cet équilibre.
Bonne lecture ! 🙂
Bonjour Alexandre, peux-tu te présenter en quelques mots et me raconter ton parcours ?
J’ai 31 ans, j’ai fait des études de maths, pendant 4 ans à Dauphine et je suis parti à Londres à King’s College pour un Master. Je me dirigeais vers le secteur de la finance, j’ai effectué tous mes stages dans ce secteur et j’ai même commencé à travailler à Londres pour une boîte française. Au bout d’un an, j’ai démissionné, je suis rentré, et j’ai décidé que c’était fini.
Quel était ton objectif quand tu as choisi de faire des maths ?
Je voulais clairement travailler en finance de marché. J’avais fait de super stages dans diverses structures, assez jeune, et j’avais eu l’opportunité d’être embauché en parallèle de mes cours le vendredi dans une banque, ce qui m’avait permis de m’immerger assez vite dans des sujets vraiment concrets, mais – c’est horrible à dire et sûrement présomptueux – au bout de 5 ans et après avoir commencé à travailler à Londres, j’ai eu l’impression d’avoir fait le tour du sujet.
C’est peut-être juste que ça ne te correspondait plus.
En fait, je n’ai jamais trouvé quelqu’un qui m’ait inspiré, aucun mentor. Et c’était quelque chose d’important pour moi. Je crois que je m’étais fait une haute estime de ces métiers, et en y réfléchissant je n’ai jamais trouvé la personne ou le poste qui me faisait rêver. Cela ne veut pas dire que ça n’existe pas mais je n’en ai pas trouvé. Et puis ce n’était pas responsabilisant en raison du système hiérarchique propre à ce domaine, surtout dans les boîtes anglo-saxonnes. Je faisais beaucoup de tâches rébarbatives, et même si j’adorais la vie à Londres, ça ne suffisait pas pour m’épanouir. J’avais envie d’apprendre davantage et de mettre en danger d’une certain façon.
C’est venu rapidement ?
Non, quand j’étais en Master à Londres j’y pensais déjà. Je n’étais pas convaincu que ce secteur soit fait pour moi et quand j’ai pris le boulot, je n’étais vraiment pas sûr de moi. J’avais déjà imaginé dire stop mais je ne voulais pas partir, je voulais aller au bout pour ne pas regretter. Et puis j’ai eu un contrat à Londres, ça s’est passé comme je l’imaginais. L’ambiance était très cool, j’apprenais quelques trucs mais rien de transcendant, et ce n’était pas responsabilisant. Au bout de 9 mois, j’ai pris la décision – pas évidente – d’arrêter.
Qu’est ce qui a fait que tu as pris la décision à ce moment-là ?
Je ne sais pas, je crois que c’est lié à une rupture amoureuse. Je me suis dit quitte à changer autant tout changer ! C’était un bon moyen de prendre un nouveau départ.
Tu avais une idée de ce que tu voulais faire dans cette nouvelle vie ?
Je m’étais dit que je voulais bosser dans le digital. J’avais fait un stage dans la société de mon frère, spécialisée dans le fundraising online auprès des associations. J’avais aimé cette expérience, son équipe et les missions qu’on m’avait confiées. L’impression de faire quelque chose qui avait vraiment du sens.
Quand j’ai pris la décision d’arrêter la finance, mon frère m’a mis en contact avec une de ses amies qui prenait la direction marketing de Made in Design, site leader européen en décoration. Le job était basé à Paris et elle cherchait un profil analytique pour un poste en CDD pour l’aider à analyser l’activité. C’est comme ça que j’ai commencé à travailler avec elle avant d’être pris en CDI. J’apprenais pleins de choses, je prenais de vraies décisions, c’était vraiment une expérience enrichissante.
Ensuite, ils m’ont proposé de prendre la tête du marché anglais, un marché encore jeune. J’ai donc commencé à gérer le site, les clients, les partenariats. Il marchait bien, il était rentable, mais le groupe dans sa globalité ne l’était pas. C’est la raison pour laquelle il y a eu un plan économique. Je faisais partie des gens qui coûtaient un peu trop cher car ma boss et moi étions à Paris alors que le reste des équipes était en province. On m’a donc annoncé que mon poste allait être supprimé. Ça reste un départ dans d’excellentes conditions.
Je n’étais pas forcément content de partir dans l’absolu mais je l’ai plutôt vu comme quelque chose de positif dans l’ensemble. J’ai commencé par voyager un peu et je suis rentré assez vite car je crois que je culpabilisais de ne pas travailler. Avec le recul, je me dis que j’aurais dû partir faire un tour du monde mais quand tu es dedans, tu ne te rends pas forcement compte du temps que tu as. On m’a alors proposé des postes pour faire la même chose que chez Made in Design, mais les univers me plaisaient moins. En parallèle, l’un des meilleurs amis de mon frère, Marc, avec qui je m’entendais bien, avait toujours eu l’intuition qu’on monterait un jour une boîte ensemble. Et finalement c’est venu très progressivement. À chaque fois qu’on se voyait on parlait de cette nouvelle technologie qu’était l’impression 3D. Et alors qu’on en parlait de plus un plus, un jour il m’a annoncé qu’il avait créé un blog et il m’a proposé d’y participer. On s’est dit qu’on allait l’utiliser pour se créer un réseau, quasi-inexistant l’époque. On écrivait un article par semaine avant de passer rapidement à un par jour, et des gens ont commencé à vouloir écrire pour nous. En 6 mois, on est devenu le site de référence. C’était en 2013 et les médias généralistes commençaient à vraiment s’emparer de ce sujet. Comme on était là depuis peu, on était bien référencé sur Google et ça a commencé à vraiment bien marcher.
C’est comme ça que 3Dnatives a commencé alors !
Oui ! On a parcouru pas mal de chemin depuis et on est aujourd’hui le premier média sur le sujet en Europe. Notre audience est plutôt BtoB même si beaucoup de particuliers nous suivent. On est disponible en français, anglais, espagnol et allemand. En parallèle des news, on propose différents services comme un comparateur d’imprimantes 3D et de scanners 3D, un annuaire des professionnels du secteur, un agenda des principaux évènements, un job board avec les offres d’emploi, un forum. On essaie de répondre aux problématiques de professionnels sur ces sujets, sur comment intégrer la technologie, avec des applications dans tous les secteurs. A coté de cela, on a développé une expertise conseil où on accompagne des marques et des sociétés qui veulent communiquer sur leurs produits et services.
En quoi consiste ton rôle aujourd’hui ?
Aujourd’hui, je gère une équipe de 5 personnes. Mon poste a pas mal évolué en comparaison aux débuts où j’étais seul pour développer le site français avec des missions très variées : rédaction, sales, référencement, réseaux sociaux. Au fur et à mesure, l’équipe s’est agrandie avec des apprentis, des stagiaires, des CDI. Puis j’ai commencé à déléguer et gérer l’équipe, où chacun est responsable de son marché, ainsi que les nouveaux projets.
Tu avais déjà imaginé que tu serais indépendant ?
Pas du tout ! Pour tout te dire quand j’étais petit, je pensais devenir chef cuisinier ! Je ne me voyais pas trop monter ma boîte car je suis plutôt stressé de nature. Je parlais de mentor tout à l’heure, je sentais le besoin d’être accompagné par quelqu’un qui a un vécu, qui a monté des boîtes, qui s’est déjà planté. Et finalement, avec Marc, mon associé c’est exactement ça ! Il a 40 ans, il a monté plusieurs boîtes, levé plusieurs dizaines de millions d’euros, il s’est trompé, s’est relevé, c’est juste génial de s’être lancé avec lui.
Marc est actif avec toi dans la gestion de la société aujourd’hui ?
Sur la stratégie de la boîte oui, mais opérationnellement non. Il n’est pas dans les bureaux, on fait au moins un point par téléphone minimum par semaine et on essaie de se voir une à deux fois par mois. Il intervient davantage comme un actionnaire impliqué.
Quand tu as monté le projet, comment as-tu surmonté le stress et les doutes ? Grâce à Marc ?
Ma femme m’a bien aidé. Elle travaille en agence de communication, elle voit des clients toute la journée, c’est similaire à ce que l’on fait sur pas mal de points et elle m’aide à relativiser. Elle me fait notamment prendre conscience de la valeur qu’on apporte aux clients et à mieux me vendre.
Marc m’a beaucoup apporté bien sûr. Notamment sur l’idée d’être patient, d’avoir confiance en soi mais aussi sur son expérience en négociation.
J’ai toujours eu du mal avec les gens qui parlent trop d’eux et je faisais tout pour ne pas me mettre en avant mais quand tu diriges une startup, c’est capital. Tu fais partie des arguments de la boîte, de sa légitimité, c’est un peu grâce à moi que le projet en est là, grâce aux idées qu’on a eues, aux développements que l’on a menés. Et personne ne saura en parler mieux que moi et convaincre nos clients.
C’est important de reconnaître ses succès ! Et aujourd’hui quels sont les avantages à être indépendant pour toi ?
Je dirais que le principal reste la liberté de gérer mon temps comme je le souhaite.
Tu en profites ?
Oui, mais c’est aussi des contraintes car pendant 3 ans j’ai bossé quasiment tous les weekends. Je ne m’oblige plus à bosser le weekend maintenant, mais je m’organise pour ne pas avoir à le faire ou très peu, et à l’inverse je peux partir le mercredi soir ou le jeudi soir et avoir plus de flexibilité. Après, quand tu as des équipes, tu es aussi un peu rattrapé par ça aussi, j’estime que c’est important de montrer l’exemple. J’essaie d’être là tôt tous les matins par exemple.
Dans quelles conditions et-tu le plus productif ?
Le matin globalement, quand je suis seul. Je ne sais pas si c’est le bruit où mon équipe qui me challenge beaucoup, même si ça change car je les ai énormément responsabilisés. C’est vrai que j’ai toujours une oreille dans l’open-space et quand il n’y a personne je me concentre davantage.
Il y a des moments un peu difficiles qui te font stresser ?
On a toujours mis en place ce qu’il fallait pour qu’il n’y ait pas de problèmes financiers donc ça au moins ce n’est pas une source de stress. On a été rentable dès le début, on a toujours gagné de l’argent car notre structure de coûts est assez simple.
Les moments difficiles, ça va plutôt être de gérer des clients mécontents. On n’en n’a pas eu beaucoup mais deux-trois. Ça peut être dur car tu te remets en cause dans ces moments-là.
Cependant, j’en ai toujours tiré le positif et on a mis des choses en place pour que les relations avec les clients se passent du mieux possible. Je suis globalement hyper positif et j’essaie toujours de trouver comment sortir vainqueur des petits obstacles de la vie. Quand on a eu un souci un jour, j’ai pris le temps d’appeler tous nos clients pour leur expliquer la situation et j’ai finalement décroché de nouveaux contrats grâce à cela ! J’ai aussi appris qu’il ne fallait pas toujours prendre les choses personnellement.
Comment tu remontes vers le haut quand parfois ça ne va pas ?
En discutant avec les équipes, avec mon associé, ma famille et mes amis, et aussi en me rappelant qu’on apporte aussi des choses positives à beaucoup de personnes, qu’on a des lecteurs ou des clients qui sont super contents et qui nous le disent par mail, en commentaire des articles, par téléphone…
Et globalement, tu prends soin de toi ?
Je fais du yoga, depuis deux ans et demi, une fois par semaine. J’avais même un prof à la maison mais maintenant je suis des cours au Cargo, le lieu dans lequel nous avons nos bureaux. Je fais aussi de l’apnée chaque mardi, c’est assez proche du yoga d’ailleurs car les deux disciplines partagent ce besoin de se calmer, de respirer pour chaque exercice, et j’adore. Je fais aussi du tennis et de la course à pied.
Quand je fais du yoga, je sens que ça me fait du bien, je suis régénéré. Quand j’en sors, je me suis vidé la tête, je sens que je peux me remettre à réfléchir à une décision, sous un nouvel angle, ça ouvre vraiment l’esprit.
Je n’aime pas particulièrement courir, mais je n’ai pas trouvé autre chose qui me permette de me faire du bien, me maintenir en forme, qui fatigue aussi vite et qui soit aussi simple à faire. J’ai fait pas mal de rugby, ça me manque beaucoup, mais c’est trop violent, c’est moins dans ma nature. Je me suis blessé plusieurs fois et ça m’ennuierait vraiment de ne plus faire de sport ! Même si j’adorais ça et que je n’ai jamais retrouvé les émotions et l’esprit d’équipe qu’il y avait dans les matchs.
Te sens-tu épanoui à 100% dans ton travail aujourd’hui ?
Je ne pense pas, mais justement tu peux toujours t’améliorer, et heureusement ! Ça force à trouver le bonheur dans le travail. Je pense que je pourrais toujours trouver mieux, je ne sais pas comment mais j’ai des pistes en tout cas pour après. Je pense pourquoi pas faire un métier manuel ou vivre d’une passion. Je ne sais pas si ce sera mon prochain travail, mais je ne pourrais pas faire ce métier toute ma vie. On parle beaucoup des slashers* en ce moment (et encore plus souvent au féminin, de slasheuses d’ailleurs !), je crois beaucoup à cela.
À notre époque, on peut se permettre de changer de vie plusieurs fois.
Bien sûr, il y a certains métiers qui demandent une vie entière pour être bon mais il y existe tellement de métiers, de choses à faire, je trouve cela passionnant, avec des facettes à chaque fois, sur le côté technique, marketing, l’aspect manuel, stratégique… J’ai envie de toucher à tout de manière concrète, soit en rejoignant un projet, un grand groupe, mais je me reconnais dans ce terme de slasher. J’ai souvent cette discussion avec ma mère, on est tous entrepreneurs dans la famille, je m’en suis rendu compte il y a seulement un an. Ma mère était créatrice dans la mode, elle a bossé pour de grandes maisons avant de reprendre le magasin familial ; mon père avait monté sa boite dans l’agroalimentaire pendant 30 ans puis l’a revendue ; mon frère a sa boîte dont je t’ai parlée ; et ma sœur est ostéopathe donc aussi indépendante. Même dans ma famille plus étendue on retrouve des entrepreneurs et indépendants. On a tous ce côté slasher avec plusieurs carrières en une, c’est ce qui nous a forgé.
*Nous avions déjà parlé des slashers dans le portrait de Damien Douani, que je vous invite à retrouver ici.
Comment vois-tu l’évolution au travail ?
Je parlais de responsabilités tout à l’heure, je sais que mon bonheur est passé par le fait d’être responsabilisé, par le fait d’être challengé. Je ne sais pas si ça correspond à tout le monde, j’ai offert la possibilité à certaines personnes qui ne l’ont pas forcément saisie par exemple. Moi je trouvais ça excitant, je pensais leur offrir et en fait ce n’était pas ce qu’elles attendaient. Être celui qui prend la décision, avoir le courage d’aller au bout de ses idées, convaincre ses collaborateurs, ses clients, j’ai toujours essayé de tendre vers ça.
Comment vois-tu l’évolution du bien-être au travail ?
Je me demande souvent comment avoir une bonne ambiance dans mon équipe. J’ai la chance d’être bien entouré, je ne sais pas si c’est quelque chose que tu créés. J’ai du mal à croire à la chance mais parfois tu peux attirer la bonne personne et globalement jusqu’à aujourd’hui j’ai été assez chanceux. J’ai une super équipe autour de moi, une équipe au top sur qui je peux compter, et c’est important de faire des choses avec eux, d’aller au restaurant, d’avoir une vie en dehors du boulot. Sans en faire trop, mais de faire en sorte qu’ils soient fiers de bosser pour 3Dnatives, qu’ils fassent le pas de plus de se dire ce soir je reste une heure de plus parce que je suis content de finaliser ce projet. C’est le petit truc qui est difficile à créer je pense dans une boîte surtout quand elle grandit. C’est difficile de prendre du temps avec chacun d’entre eux mais j’essaie de faire attention, parce que je trouve que c’est important. Autant je parlais de responsabilités, d’avoir des mentors, mais travailler dans une bonne ambiance, ça compte pour au moins 1/3 du job.
Et que penses-tu du bien-être en général ?
J’y suis assez sensible. Je pense que c’est important de faire des choses à côté de ton travail qui t’apportent un équilibre, te vident la tête. C’est ce que m’apporte le yoga par exemple. Même faire un travail manuel comme créer un meuble soi-même, ça peut apporter autant d’apaisement.
Tu essaies de faire plus de choses qui te font du bien ?
Oui, par exemple, j’essaie de limiter le temps sur mon smartphone ou Netflix. Je culpabilise de faire ça pour le coup, je m’en veux beaucoup dès que je passe deux heures sur Netflix ou quand je « geek » ! J’ai beaucoup aimé le livre « Bouge ton cerveau » de Wendy Suzuki, qui explique comment le fait d’avoir des activités nouvelles comme jouer de la guitare, danser le tango, apprendre un métier manuel, permet de créer des connexions cérébrales et plus globalement d’être heureux.
Pour terminer, quels conseils donnerais-tu à un jeune entrepreneur ?
S’entourer, par un mentor ou un associé, quelqu’un qui a fait des erreurs, il faut trouver une personne avec qui tu peux avoir une discussion posée qui pourra vous enrichir tous les deux, vous challenger. Je trouve ça remarquable qu’un entrepreneur soit seul et qu’il arrive au bout de ses idées, mais cela arrive rarement selon moi, donc c’est important d’être bien entouré.
Il faut aussi être patient et relativiser. La patience englobe pleins de choses, notamment l’idée de ne pas désespérer quand tout va mal.
Etre bien organisé aussi, ça permet d’avoir une tranquillité d’esprit, car tu peux vite te laisser déborder. Ce n’est pas parce qu’on n’est pas un grand groupe qu’on ne peut pas se structurer comme tel.
Merci Alexandre !
Pour aller faire un tour sur le site de 3Dnatives, c’est par ici : https://www.3dnatives.com/
2 Comments
Bertrand evelyne
Passionnant : le courage d’oser aller au bout de soi, d’oser se tromper, d’oser tourner des pages en ouvrir d’autres et de tirer le meilleur de ce qui arrive … en s’affirmant et en écoutant ….
Chapeau bas !!!
Michaud
J’allais dire chapeau bas en pensant a mi article au commentaire que j’allais déposer en fin de lecture mais Evelyne m’avait devançé. C’est tout simplement ça, bravo Alexandre et que de chemin parcouru depuis notre dernière rencontre.
Force est de constater que ton travail, ton bon sens, ta méthodologie et ta remise en cause sont les ingrédients de ta réussite.
Continues sur cette voie, tu as les clefs du succès en mains.